Article paru en 2002-09-01Dossier thématique : VACCINATION
Auteur(s) : GOUJON C.
Editeur : LE CONCOURS MEDICAL
N° Revue : 28
N° pages : 1811

Description :

Des chercheurs français viennent de mettre en évidence la présence d’aluminium dans le muscle deltoïde de patients ayant eu des effets secondaires notables (myasthénie, paralysie) dans les suites d’une vaccination pratiquée à cet endroit. Par voie parentérale, l’aluminium a été responsable de cas d’encéphalopathies, chez des dialysés notamment. Si cette toxicité de l’aluminium est reconnue de longue date, comment expliquer que, depuis des dizaines d’années, les producteurs de vaccins continuent d’inoculer à la population la dose de 1,25 mg d’hydroxyde d’aluminium par 0,5 ml de dose vaccinale ? Les vaccins adsorbés sur hydroxyde d’aluminium conservent leur avantage en terme de rapport bénéfice/risque, compte tenu de l’absence de lien démontré entre les lésions histologiques et une quelconque entité clinique, et de la rareté des manifestations décrites en regard du très grand nombre de vaccinations pratiquées.

Mots-clés