Article paru en 2005-08-01
Editeur : LA REVUE PRESCRIRE
N° Revue : 263
N° pages : 514-519

Description :

Face à une incontinence urinaire d’effort (prévalence estimée entre 20 et 50 % chez la femme adulte), il vaut mieux privilégier les techniques non-invasives comportant le moins de risques. Un programme de rééducation des muscles pelviens constitue le traitement de premier choix. L’option chirurgicale est à discuter au cas par cas, généralement dans un deuxième temps, en se rappelant les incertitudes qui persistent dans l’évaluation des trois techniques les plus efficaces. Il n’y a pas de place pour les médicaments.