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De nombreux facteurs freinent le rôle du médecin dans le contrôle du tabagisme : l’information est déjà connue, le simple conseil médical ne donne pas de résultats efficaces, la réticence à s’immiscer dans la vie privée des patients, le manque de motivation. Pourtant, une étude démontre qu’après le simple fait qu’un médecin parle systématiquement du tabagisme avec ses patients, augmente la fréquence des tentatives d’arrêt. Ne pas hésiter à faire réaliser au patient que personnellement il prend des risques en fumant…

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